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Groupe ws : témoignages de clients et études de cas inspirantes

Groupe ws : témoignages de clients et études de cas inspirantes

Groupe ws : témoignages de clients et études de cas inspirantes

Quand le bureau devient un levier de qualité de vie

À l’heure où le télétravail bouscule les organisations et où de plus en plus d’actifs choisissent de vivre en région tout en travaillant régulièrement à Paris, une question s’impose : à quoi doit ressembler le bureau aujourd’hui ? Depuis 2016, le Groupe WS apporte une réponse singulière avec son concept Work & Sleep, un modèle hybride qui fusionne espace de travail et espace de repos.

Dans un marché saturé de coworkings et d’open-spaces souvent bruyants, WS prend le contrepied en misant sur des unités privatives, insonorisées, ultra-fonctionnelles et… transformables en chambre d’appoint. Un parti pris qui séduit une clientèle variée, des salariés grands mobiles aux indépendants, en passant par des directions immobilières en quête de solutions agiles.

Pour comprendre concrètement ce que change Work & Sleep au quotidien, nous avons recueilli plusieurs témoignages et étudié des cas réels d’entreprises et d’utilisateurs. Plongée au cœur d’une nouvelle façon de penser l’immobilier professionnel.

Work & Sleep : de la théorie à l’usage quotidien

Le principe des unités Work & Sleep est simple : un bureau privatif et chaleureux, totalement insonorisé, équipé pour la visioconférence, doté de sanitaires avec douche et d’une mini-kitchenette. Le bureau s’escamote pour laisser place à un vrai lit, le tout dans une atmosphère plus proche d’une chambre d’hôtel que d’un bureau classique.

Chaque espace comprend notamment :

Ces éléments techniques prennent tout leur sens lorsqu’on écoute ceux qui les utilisent réellement. Loin d’être un simple « gadget immobilier », Work & Sleep devient pour beaucoup un outil d’équilibre de vie.

Étude de cas : un consultant qui a réduit ses nuits d’hôtel de 70 %

Thomas, 38 ans, est consultant en stratégie. Il a quitté Paris pour s’installer à Tours avec sa famille, tout en conservant une activité très présente en Île-de-France. Avant de découvrir Work & Sleep, son organisation reposait sur un schéma classique : TGV tôt le matin, rendez-vous à Paris, nuits à l’hôtel, retour tardif.

« En moyenne, je passais 8 à 10 nuits par mois à l’hôtel, raconte-t-il. Financièrement c’était lourd pour mon cabinet, et personnellement très fatigant. Je n’avais aucun espace à moi, je travaillais souvent dans le lobby ou sur un coin de lit. »

En 2022, son cabinet signe un contrat pour plusieurs unités Work & Sleep dans un immeuble récemment restructuré par le Groupe WS à proximité de la Gare Montparnasse. Thomas y a désormais son espace attitré :

« Je n’ai plus besoin de réserver d’hôtel, explique-t-il. Mon bureau est aussi mon pied-à-terre. Je connais l’endroit, je sais que la connexion est fiable, que je ne serai pas dérangé et que je peux laisser quelques affaires sur place. J’ai divisé par trois les nuits d’hôtel et j’ai gagné en sérénité. »

Pour le cabinet, l’impact est net :

Une réponse concrète à la « génération télétravail »

Si le cas de Thomas illustre bien le besoin des travailleurs très mobiles, d’autres profils trouvent également dans Work & Sleep une solution adaptée à leurs nouveaux rythmes.

Julie, 29 ans, développeuse web dans une scale-up parisienne, vit à Lille et ne se rend au siège que deux ou trois jours par mois. « Je ne voulais plus habiter Paris, mais je tiens à garder un lien physique avec mon équipe. Le problème, c’est qu’entre le train, la fatigue et l’hôtel, chaque déplacement tournait au marathon. »

Son entreprise loue aujourd’hui un petit plateau équipé d’unités Work & Sleep. Les salariés lillois et lyonnais peuvent y réserver un bureau-chambre à la demande. Julie en profite surtout pour :

« La grande différence, souligne-t-elle, c’est le silence. On se retrouve seul, dans un espace vraiment pensé pour la concentration. Quand j’ai besoin de voir l’équipe, je vais dans les espaces collectifs. Mais pour avancer sur un projet complexe, mon Work & Sleep est imbattable. »

Ce type de témoignage illustre la manière dont le concept de Groupe ws s’intègre dans les politiques de télétravail hybrides. Les entreprises ne cherchent plus forcément à loger tous leurs salariés à plein temps à Paris ; elles veulent plutôt leur offrir des « bases arrière » ponctuelles, efficaces, qualitatives et économiquement rationnelles.

Transformer des bureaux vacants en espaces à haute valeur d’usage

L’autre versant de cette histoire se joue côté propriétaires et directions immobilières. En Île-de-France, la vacance de bureaux s’est accentuée, notamment dans certains quartiers tertiaires construits pour un monde du travail pré-télétravail. Des plateaux entiers restent vides ou sous-occupés.

Le modèle de WS repose sur une stratégie claire :

Le propriétaire ne devient jamais opérateur : il confie ce rôle au Groupe WS, qui porte l’investissement dans les travaux, l’aménagement et l’exploitation. De quoi valoriser des actifs délaissés sans se lancer dans une reconversion lourde en logements ou en hôtel.

Un asset manager d’une foncière parisienne, ayant confié un immeuble secondaire à WS, résume l’intérêt du modèle : « Nous avions un bâtiment des années 80 difficile à relouer tel quel. Les attentes des entreprises avaient changé : moins de postes fixes, plus de flexibilité, plus de services. WS est arrivé avec une proposition clé en main, capable de repositionner l’immeuble sur un créneau porteur sans que nous supportions la complexité opérationnelle. »

Résultat : un taux d’occupation en forte hausse et une image rafraîchie pour le site, désormais perçu comme un hub pour travailleurs mobiles et indépendants plutôt qu’un « vieil immeuble de bureaux ».

Étude de cas : une PME francilienne réinvente ses jours au bureau

Autre situation, autre usage. Une PME de services numériques basée en petite couronne comptait 80 salariés avant la crise sanitaire, tous installés sur un plateau classique d’open-space. Avec la généralisation du télétravail, elle a réduit de moitié ses besoins en poste de travail… tout en souhaitant garder un point d’ancrage physique pour nourrir la culture d’entreprise.

La direction a fait un constat : continuer à payer pour un grand open-space ne faisait plus sens. En 2021, elle décide alors de quitter ses locaux historiques pour rejoindre un site opéré par WS. Le plateau qu’elle occupe comporte :

Le DRH raconte : « Les salariés n’avaient plus envie de revenir pour retrouver un open-space bruyant, mais ils tenaient à garder un lieu pour se voir. Les espaces Work & Sleep nous ont permis de proposer autre chose : un bureau qui n’est plus seulement un lieu de production, mais aussi un support de qualité de vie. »

Les retours internes convergent :

« Le détail qui change tout, souligne une salariée vivant à Reims, c’est la douche. Quand j’arrive tôt le matin après un train très matinal, pouvoir me doucher et me préparer sur place avant une réunion client, c’est un vrai confort. »

Différence avec le coworking : l’intimité comme promesse centrale

Work & Sleep est souvent comparé aux espaces de coworking, mais les utilisateurs eux-mêmes insistent sur une différence majeure : l’intimité.

Dans un coworking traditionnel, l’expérience repose généralement sur :

À l’inverse, la démarche de WS privilégie :

Un avocat d’affaires, utilisateur régulier, témoigne : « J’ai fréquenté beaucoup de coworkings, très utiles pour réseauter. Mais pour les rendez-vous clients ou les visioconférences confidentielles, ce n’est pas l’idéal. Dans mon unité Work & Sleep, je peux traiter des dossiers sensibles, dormir sur place si une négociation s’éternise, tout en ayant le niveau de discrétion que mon métier exige. »

Les bénéfices mesurés : bien-être, productivité et attractivité

Au fil des projets, certains indicateurs reviennent dans les retours des entreprises clientes :

Un directeur financier résume : « Pour le coût mensuel de quelques chambres d’hôtel, nous offrons à nos salariés un espace qu’ils peuvent utiliser à la fois comme bureau premium et comme pied-à-terre fonctionnel. Sur l’année, l’équation économique est clairement en notre faveur. »

Un modèle agile face aux incertitudes du marché du travail

Derrière ces cas concrets, se dessine une conviction : le bureau n’est plus un lieu unique, figé, occupé à temps plein par les mêmes personnes. Il devient un dispositif, un service que l’on active selon les besoins, en complément du télétravail et d’autres tiers-lieux.

En signant des baux longue durée auprès des propriétaires, puis en les transformant en espaces modulaires, WS prend le risque et la charge de l’exploitation, tout en offrant aux entreprises et indépendants :

Recrutement du groupe ws

Cette agilité séduit particulièrement les structures en croissance rapide, qui refusent désormais de se retrouver « coincées » dans de grands baux traditionnels inadaptés à l’imprévisibilité des effectifs.

Les témoignages convergent sur un point : loin de remplacer totalement le bureau classique ou le coworking, Work & Sleep occupe une place spécifique dans l’écosystème des espaces de travail. Un trait d’union entre la chambre d’hôtel, le bureau individuel et le tiers-lieu, pensé pour les mobilités géographiques et les nouveaux rythmes professionnels.

En donnant une seconde vie à des bureaux vacants, tout en offrant aux actifs un outil concret pour mieux vivre leur travail nomade, le Groupe WS illustre la manière dont l’immobilier peut évoluer au rythme des usages plutôt que de les subir. Les prochaines années diront jusqu’où ce modèle pourra s’exporter au-delà de l’Île-de-France, mais une chose est sûre : pour ceux qui l’utilisent déjà, le bureau ne se résume plus à un simple lieu où l’on pointe chaque matin. Il devient un véritable support d’équilibre de vie.

 

Source : groupe ws Paris

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